ifficile de la quitter que d’y arriver. Quelles difficultés énormes j’ai dû surmonter pour parvenir cette fois-ci jusqu’à toi, ma belle ville natale! Le premier jour j’embrasse le pied de l’Indien de la place Muñoz Gamero. Je marche par l’avenue Colon et contemple, émue, la nuit éclairée par la lumière de décembre. Lumière qui se reflète surmardi 22 mai 2007
2001: Amo las piedrecillas del Estrecho. J’aime les cailloux du Détroit.
ifficile de la quitter que d’y arriver. Quelles difficultés énormes j’ai dû surmonter pour parvenir cette fois-ci jusqu’à toi, ma belle ville natale! Le premier jour j’embrasse le pied de l’Indien de la place Muñoz Gamero. Je marche par l’avenue Colon et contemple, émue, la nuit éclairée par la lumière de décembre. Lumière qui se reflète sur
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